De la java au "diabolight"
Une centaine d'enfants à l'école ayant chacun un papa et une maman même parfois plusieurs maintenant plus, des petits frères et soeurs, deux papys et deux mamies, plus les seniors venus par sympathie : faîtes le compte. On peut constater d'année en année que la salle des Fêtes est trop petite et très mal ventilée. En fait, on oublie vite la moiteur, on est très attentif à ne pas louper la photo ou la vidéo du petit prodige là-bas sur la scène.
L'orient de Shérazade, on aime. Celui qu'on voit à la télé et dans les journaux ces derniers temps est malheureusement moins chaleureux.
Marion, l'intervenante musicale est au piano. C'est une première mais moi j'aimais bien Stéphane et sa guitare qui me rappelaient les feux de camps de mon enfance.
C'est la Java des couleurs, la java la plus belle...
Les grands se sont essayés au théâtre cette année. Essai transformé et une bonne note pour ces justifications de la mauvaise note.
Geneviève, ancienne enseignante, a dû en entendre d'autres encore dans sa longue carrière.
Cette lumière noire nous a ramené à notre jeunesse mais cette Magic Night n'avait rien de magique pour les photographes.
Ce sera difficile pour les parents de retrouver leurs "artists".
Pour lui, c'était certainement une première et il semble plutôt dubitatif.
Non ce ne sont pas des monstres tirés des abysses : "Diabolight" a été diabolique pour les photographes.
La lumière est heureusement revenue à la fin du "Final".
Félicitations au corps enseignant et aux aides. Félicitations aussi à Marion, Julie, Clothilde, Chloé et M. Avigny pour leurs implications "techniques".
Après Hélène de S-O et Jean-Pierre, je me suis découvert un concurrent de plus pour les reportages photo.
François, à quand le blog municipal?