3 juillet 2010
Gyan, un spectateur éclairé.
Nouvelle visite hier de notre ami; Il est resté toute une mi-temps de Brésil-Hollande, regrettant comme moi le jeu catastrophique de la défense Auriverde. Je lui ai demandé, entre deux bières, pourquoi il préfèrait la ville à la forêt. Il m'a confié, qu'outre la télé qui manquait cruellement dans la brousse, il y avait incompatibilité d'humeur entre lui et les girafes de la gare qui sont, selon lui, très snobes.
D'un commun accord, il a bien voulu que je le nomme Gyan en hommage au héros malheureux de la rencontre Uruguay-Ghana de la soirée.
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